La restauration du Drac dans les Hautes-Alpes a été, en 2013-2014, la plus grosse opération européenne de restauration écologique d’une rivière.
Le grand nombre d’acteurs impliqués dans cette opération (acteurs institutionnels et économiques, élus, bureaux d’études…) a nécessité la mise en place d’un mode de gouvernance à l’échelle du bassin versant, basé sur la concertation.
Les travaux ont permis de redonner à la rivière son cours naturel, notamment dégradé au cours des années par les activités d’extraction du gravier. Cela avait entraîné l’enfoncement du Drac jusqu’à atteindre moins 4 mètres par rapport à son niveau normal et provoquant un rétrécissement de son lit, une dégradation des berges et de son bon fonctionnement. Ils ont permis de restaurer les services écosystémiques inhérents à un cours d’eau.
Le grand nombre d’acteurs impliqués dans cette opération (acteurs institutionnels et économiques, élus, bureaux d’études…) a nécessité la mise en place d’un mode de gouvernance à l’échelle du bassin versant, basé sur la concertation.
Les travaux ont permis de redonner à la rivière son cours naturel, notamment dégradé au cours des années par les activités d’extraction du gravier. Cela avait entraîné l’enfoncement du Drac jusqu’à atteindre moins 4 mètres par rapport à son niveau normal et provoquant un rétrécissement de son lit, une dégradation des berges et de son bon fonctionnement. Ils ont permis de restaurer les services écosystémiques inhérents à un cours d’eau.
Pour aller plus loin, voir en complément :
Le film de la Communauté Locale de l’Eau du Drac Amont (CLEDA) : Les travaux de restauration du lit du Drac pour éviter une catastrophe écologique et humaine (4’20). Avec l’aimable autorisation de la CLEDA
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